Après avoir quitté le Cap Nord, il y 3 mois et demi on s’est mis en route vers la Turquie. Rien que cela ! Et comme on voulait absolument voir les montgolfières voler dans cette région, on s’est mis un coup de pression pour y arriver avant que la météo ne se dégrade trop. L’objectif était d’y arriver avant la mi-octobre. 🚵♀️🚵♂️
Après plus de 7000 km de vélo à travers toute l’Europe, passant de la Finlande, aux pays baltes, la Pologne, 2000 km de Danube, après avoir bravé les ours de la Transfăgărășan en Roumanie, avoir atteint la Mer Noire en Bulgarie, franchi les montagnes de Trace, traversé Istanbul à Vélo, marché sur un lac salé, cassé et réparé des morceaux de nos compagnons de route, nous voilà en Cappadoce le 15 octobre ! 🥳
Les poils se dressent, les yeux pétillent, on sourit béatement. A la fois parce que le second objectif principal de notre voyage est atteint, mais aussi et surtout parce que la beauté et la poésie de l’endroit nous remplissent d’émotion, de joie, de frissons. Les formes des roches, les couleurs, l’histoire des citées souterraines, toutes ces vallées à parcourir, on en prend plein les mirettes. Ce coin de la planète vaut vraiment le coup d’œil, une particularité géologique qui en fait un des joyaux de la Turquie. De plus, nous avons eu la chance bivouaquer sur les hauteurs : chaque matin nous avons le droit à un spectacle féérique de plus d’une centaine de montgolfières survolant les vallées, inondées de la douce lumière du soleil levant. Magique…
Evidemment, il y a du tourisme de masse (et encore, on est un peu hors saison…), avec plus de gens qui préfèrent visiter le site en jeep ou en quad plutôt qu’à pied ou à vélo. Le développement urbain est compréhensible puisqu’il est source de revenus, mais ce site risque d’en souffrir et en souffre déjà… Toujours un envers du décor ! Espérons que ce patrimoine naturel UNESCO soit bien surveillé…
Voilà… après moultes péripéties les derniers jours avant notre arrivée (en moins d’une semaine : une jante éclatée, un rayon cassé, une crevaison, des problèmes de télécom avec la carte que nous avions achetée, de la pluie et du vent…), nous y sommes enfin et nous nous régalons chaque jour à randonner au cœur de ce trésor naturel.
J’avais (Marie-Laure) très envie de connaître ce lieu depuis plus d’une quinzaine d’années, lorsque quelqu’un que j’appréciais beaucoup, m’a dit « Marie-Laure, vous qui aimez randonner, allez dans la Cappadoce, en Turquie : les vallées, les monts, les roches changent de couleurs selon le moment de la journée ; cela vous plairait énormément ! ».
Cette personne ne s’était pas trompée : des roches rouges, blanches, roses, des vignes et des pommiers au fond des vallées fraîches, la magie de la Capadoccia… Merci M. Azan ! 🙏
Après plus de 7000 km de vélo à travers toute l’Europe, passant de la Finlande, aux pays baltes, la Pologne, 2000 km de Danube, après avoir bravé les ours de la Transfăgărășan en Roumanie, avoir atteint la Mer Noire en Bulgarie, franchi les montagnes de Trace, traversé Istanbul à Vélo, marché sur un lac salé, cassé et réparé des morceaux de nos compagnons de route, nous voilà en Cappadoce le 15 octobre ! 🥳
Les poils se dressent, les yeux pétillent, on sourit béatement. A la fois parce que le second objectif principal de notre voyage est atteint, mais aussi et surtout parce que la beauté et la poésie de l’endroit nous remplissent d’émotion, de joie, de frissons. Les formes des roches, les couleurs, l’histoire des citées souterraines, toutes ces vallées à parcourir, on en prend plein les mirettes. Ce coin de la planète vaut vraiment le coup d’œil, une particularité géologique qui en fait un des joyaux de la Turquie. De plus, nous avons eu la chance bivouaquer sur les hauteurs : chaque matin nous avons le droit à un spectacle féérique de plus d’une centaine de montgolfières survolant les vallées, inondées de la douce lumière du soleil levant. Magique…
Evidemment, il y a du tourisme de masse (et encore, on est un peu hors saison…), avec plus de gens qui préfèrent visiter le site en jeep ou en quad plutôt qu’à pied ou à vélo. Le développement urbain est compréhensible puisqu’il est source de revenus, mais ce site risque d’en souffrir et en souffre déjà… Toujours un envers du décor ! Espérons que ce patrimoine naturel UNESCO soit bien surveillé…
Voilà… après moultes péripéties les derniers jours avant notre arrivée (en moins d’une semaine : une jante éclatée, un rayon cassé, une crevaison, des problèmes de télécom avec la carte que nous avions achetée, de la pluie et du vent…), nous y sommes enfin et nous nous régalons chaque jour à randonner au cœur de ce trésor naturel.
J’avais (Marie-Laure) très envie de connaître ce lieu depuis plus d’une quinzaine d’années, lorsque quelqu’un que j’appréciais beaucoup, m’a dit « Marie-Laure, vous qui aimez randonner, allez dans la Cappadoce, en Turquie : les vallées, les monts, les roches changent de couleurs selon le moment de la journée ; cela vous plairait énormément ! ».
Cette personne ne s’était pas trompée : des roches rouges, blanches, roses, des vignes et des pommiers au fond des vallées fraîches, la magie de la Capadoccia… Merci M. Azan ! 🙏